le Congo subit en ce moment un des génocides les plus meurtriers que l'humanité est connut et tout ça dans la plus grande indifférence générale. En effet, depuis plus de 13 ans on dénombre plus de 6 millions de victimes

Un conflit oublié par les médias mainstream....un scandale humanitaire se déroule là-bas, ignoré de tous et ceux qui savent ferment volontairement les yeux.....une honte

je suis.....

je suis le bleu du ciel et l'ocre de la terre

Le vent de la foret

Le rouge du pavot

La blancheur de la plume et le noir du mystère

Je vibre dans le jaune habillant l'abricot

Sanglote dans le gris des plus funestes  orages

Et ruisselle dans l'or de l'ame du soleil

Je suis dans les reflets du plus petit rivage

Le mauve du lilas

La rose sans pareil de la fleur éternelle et des feux du flamant

Je suis tous les reflets argentés de la lune

Au coeur de la moindre étoile

Au bord du firmament

Et ceux ou le sourit la blondeur de la dune

Dans le trille du merle

Le rire du ruisseau

J'éclate en mille sons ou chante la tendresse

Vibrato de bonheur comblant chaque ruisseau

Et je danse toujours dans le feu qui se dresse

Je suis tous les flocons doux cristaux de neige

Qui dessinent dans l'air leur valse de froid

Et les gouttes de pluie en rondes ou manège

abreuvant le sol sec lorsque l'été fait loi

Je perle dans la sève étoffant les ramures

Dans les sillons du champ que l'homme a labouré

Ou geint le souvenir de'un grand choc  des armures

Et niche la colombe au tendre bec doré

Je suis clair, je suis sombre à tout instant du jour

Mes couleurs sont partout  fans l'ombre ou la lumière

Mes chagrins, ma colère et surtout mon amour

Je suis le cri du vent

Sa chanson coutumière

L'arome de la mousse et le gout des embruns

Je transperce la nuit de mes  clartés sans nombre

Je donne leur nuance aux plus simples des parfums

Et je chante pour toi lorsque ton coeur est sombre

Regarde -moi ....sens-moi...

Toi, qui dans les hivers recherche une lueur et la force de vivre

Car je suis toujours là

je me nomme "UNIVERS "

et je m'offre en ami pour tout ce que je livre .....

Texte de JOHANNE HAUBER  BIETH

Tu étais un peu notre liberté,

Notre défouloir aussi parfois,

Tu nous permettais de nous lacher,

Sans craindre qui que ce soit

Au pays des droits de l'Homme,

Tu avais su faire ta place,

Du moins, tu avais fait tout comme,

Avec généralement, assez de classe

Les temps hélas ont changé,

Et toi aussi tu en as fait les frais,

Tes valeurs ont fin par diminuer,

Nous coupant peu à peu le sifflet !

Depuis quelques temps, il faut l"avouer,

Toi qu'on appelait "liberté d'expression",

Tu fais grise mine à notre société,

Victime d'un tas d'interdictions

L'intolérance est à présent ubitiquaire,

Certains disent que c'est comme ça,

Qu'on ne peut hélas rien y faire,

Que désormais rien ne changera !

Il est évident en allant dans ce sens,

Nous aurons bien vite perdu nos acquis,

Nous serons prude, plein  d'innocence,

Condamnés à ne plus donner son avis

HUBERT MORDAIN 

La conscience est toujours implicitement morale; et l'immoralité consiste toujours à ne point vouloir penser qu'on pense, et à séjourner le jugement intérieur. On nomme bien inconscients ceux qui ne se posent aucune question d'eux-memes à eux-meme

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La cruauté est un geste de servitude : car elle atteste que la barbarie du régime oppresseur est encore présente en nous.     Jean Jaurès

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• Tout irait bien dans le meilleur des mondes s'il n'y avait la présence de la cruauté. Cette faculté typiquement humaine, brouille l'image de notre route. Elle enrichi la dimension du nihilisme et de l'absurbe. Cette faftalité négative, assombri l'évolution positive de notre espèce

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